Les textes pour accompagner les chants
Voici les textes dits par Claire et Isabelle pour accompagner nos chants :
Toutes vos modifications, corrections et autres améliorations sont les bienvenues.
Hegoak, les ailes en basque, évoque la liberté de l’être aimé. Ce texte écrit par le poète Josean Artze sous la dictature franquiste, a pris un sens politique, le régime interdisant l’utilisation de la langue basque.
Ma Liberté de Moustaki nous invite à larguer les amarres pour aller n’importe où, pour aller jusqu’au bout…et enfin, le voyageur fatigué rentre se reposer au coin du feu.
Avec Chanson d’automne de William Sheller, nous avons partagé un moment intime, mélancolique, un instant de repos pour saisir ensuite avec vigueur et enthousiasme le Chiffon rouge de Michel Fugain ; puis, en italien, nous avons contemplé la naissance de l’aube, ensemble, molto calmo, avec Varda che Vien Mattina, de Bepi de Marzi.
La complainte de Pablo Neruda, écrite par Jean Ferrat, sur un poème de Aragon, raconte l’histoire sombre, rebelle du Chili et celle d’un homme, Pablo Neruda qui disait « je veux vivre dans un monde où les êtres seront seulement humains ».
Et l’humanité est là, autour de nous, dans la douceur de l’enfance, du Sud de Nino Ferrer, chanson douce amère d’un paradis perdu.
Alors rêvons, avec les pierrots, les poètes et les chats noirs….
Comme nous sommes audacieux, nous allons chanter l’amour en dialecte finnois avec Hyvan Illan, (que les spécialistes du finnois nous pardonnent notre drôle d’accent !) puis la paix avec la ballade irlandaise de Renaud et enfin, sans complexe, en russe, un extrait de la liturgie orthodoxe, Mnogaja leta de Dimitri Bortniansky (18ème) (et là, que les spécialistes du russe nous pardonnent notre drôle d’accent !).
L’Ode à la paix ou Hatikvah (L’Espérance, hébreu[]), est un chant d’espoir dont on dit qu’il a pris sa source dans un chant folklorique du nord de l’Europe au 19ème S, puis qu’il fut adapté sur des mélodies populaires roumaines et un poème symphonique classique.
Puis nous chanterons la Libertà, la liberté qui nous est chère et pour terminer gaiement nous irons sur les traces d’un toreador pas bien malin, Don Leon , chanson populaire interprétée par les Frères Jacques